Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, L’Épouse Hypersexuelle (45) : Ambre Et Renaud

Dans le récit précédent (n°44) j’ai raconté le début de nos vacances 2014, dans un camping de la côte Atlantique.

Ce texte est la suite de ce récit.

Il raconte notamment certains « dérapages » de ma part par rapport à ce que nous avions convenu ensemble, mais aussi la formidable complicité existant entre mon mari candauliste et son épouse hypersexuelle.

Pendant ces vacances, j’avais presque retrouvé le rythme de plaisir que j’avais connu lorsque j’étais « sous la coupe » de Rachid.

A quelques distances du camping, la découverte d’une plage nudiste non surveillée nous avait permis, à Philippe et à moi, de donner libre cours à nos fantasmes.

JE M’OFFRE A UN INCONNU

Un jeune homme, installé près de nous, nous avait maté Philippe et moi en train de faire l’amour. Le spectacle l’avait manifestement émoustillé. En le voyant se masturber tout en me fixant, je lui avais fait signe d’approcher et j’avais poursuivi sa masturbation, en y mettant toute la science que j’ai dans ce domaine. D’une main, je m’occupais de sa belle bite, de l’autre je branlais mon chéri.

J’étais d’autant plus excitée que nous avions d’autres spectateurs : un peu plus loin, je me rendis compte qu'un jeune couple nous observait. Le mec bandait dur et sa copine, une jolie blonde, le masturbait tranquillement. Je parlerai plus tard de ce jeune couple, dont la rencontre a marqué ces vacances 2014.

Je voulais davantage que masturber ce jeune homme. Sa bite me faisait envie, moi, qui depuis des mois, m’étais imposée une complète diète en matière de sexe.

Comme il n'y avait pas d'autres voisins immédiats, je me décidais à enjamber le jeune mâle. Une folie, je ne connaissais pas ce type, pas même son prénom mais j’avais envie qu’il me baise.

• Tu vas me baiser devant mon mari. Profites-en bien, et fais-moi bien jouir, il sera un homme heureux ! Prends-moi, s’il te plait !

J’échangeais en même temps un regard complice avec Philippe, pour m’assurer de son accord.

Il savait ce que je voulais et il le voulait aussi. Cet échange de regards valait consentement.

Le jeune homme, quant à lui, ne se souciait pas d'être en public et décida bien vite de profiter de l'instant présent.

• Je te préviens, je n’ai pas de préservatif avec moi. Dis-moi que tu es une grosse salope et que tu veux ma queue !

• Comme ça, je te sentirai mieux. Oui, je suis une grosse salope et je veux ton énorme bite. T’attends quoi ? Mets-la-moi, je la veux !

Je me mis à quatre pattes, j’attendais la saillie de ce mâle. J’avais des mois de « diète » e à rattr.

L’homme me pénétra sans ménagement et bien à fond, puis commença à me pilonner. Ses couilles lourdes frappaient mon cul.

Philippe s’approcha, comme pour mieux voir. Il bandait, sans avoir besoin de se toucher.

• Prends-ça, chienne ! T’es bonne tu sais !

• Oui vas-y, j’aime comme tu me traites et surtout comme tu me baises. C’est trop bon, continue, oh oui ! oh oui ! oh oui !

Je voulais changer de position. Il s’est mis sur le dos et je me suis empalée sur le type. Incrédule, il me regardait s'installer alors que sa bite s'enfonçait centimètre par centimètre dans ma chatte.

Les coups de reins allaient de plus en vite et de plus en plus profond, Philippe ne pouvait qu’admirer cette bite géante dilater violemment la chatte de sa femme qui hurlait de plaisir. Mes cris devaient s’entendre de loin, seulement interrompus par des « oui » et des « encore » lancinants.

Je continuais à me faire prendre, m’abandonnant totalement au plaisir. Je fixais Philippe, je savais qu’il ne perdait rien de ce spectacle qu’il aime tant. Ça lui a manqué à lui aussi.

Je chevauchais le sexe de ce jeune mâle pendant que ce dernier était allongé sur le sol. J’ai eu alors un second orgasme, encore plus intense que le premier.

Mon amant accueillait mes va-et-vient par des coups de reins pour plonger son sexe encore plus loin en moi.
Je me penchais sur lui pour qu'il puisse embrasser mes seins. Le garçon n'était semble-t-il plus très loin de jouir.

Mes jambes se mirent à trembler. Mon corps entier était plein de convulsions, mon rythme cardiaque s’accélérait, j’allais atteindre l’orgasme ultime, celui qui me laisserait brisée, repue.

• Ouah, je ne le crois pas, t’es trop bonne, exceptionnelle ! Je te préviens, petite garce, je vais te remplir !

• Viens !

Cette fois-ci, je ne lui demandais pas de se retirer, je voulais qu’il se vide en moi, je voulais me donner totalement. Il y eut trois puissantes giclées. Je m’émerveillais de voir tout ce flot de semence se déverser ainsi librement dans mon vagin. Le gars se concentrait sur son plaisir, pendant que, reprenant mes esprits, j’adressais des mots d’amour mais aussi d’excuses à Philippe car je ne respectais pas notre Pacte.

• Oh chéri, pardonne-moi, mais tu sais que mon plaisir est encore plus fort quand le mâle m’envoie sa semence au plus profond de ma chatte. Je reprendrai la pilule, mais là, j’en avais trop envie !

Philippe, paralysé par le spectacle, n’avait pas osé intervenir. A son tour, il se laissait entrainer, oubliant nos résolutions et la prudence la plus élémentaire.

• C’est une folie, chérie, mais tu sais bien que j’adore ça quand tu te fais remplir !

Ce jeune homme devait se dire, à juste titre, qu’il était tombé sur un sacré couple de pervers !

• Ne vous inquiétez pas, je suis sain. Par contre, elle m’a bien excité, ta meuf. J’avais les couilles bien pleines, elle voulait sa dose, elle l’a eu ! A votre disposition pour remettre le couvert une autre année, car c’est malheureusement mon dernier jour de vacances ici.

Sur ce, il est parti, sans même un geste de tendresse. Il m’avait traité comme un « vide-couilles », mais c’est ce que je voulais : un étalon, pas un amant.

Je me redressais. Ma chatte était béante, j’étais encore marquée par la jouissance que je venais de connaître.
Je me dirigeais vers Philippe, en baissant les yeux :

• Tu es fâché, chéri ?

• Oui, car tu es insupportable. Tu joues à la roulette russe. Avec un inconnu. De la folie pure !

• En même temps, je sais que tu as adoré ça, mon petit cochon adoré.

UN CUNNINLINGUS EXCEPTIONNEL

Philippe me prit dans ses bras et m’embrassa longuement, à en perdre le souffle. Son amour me semblait à cet instant infini, désarmant sa colère face au risque immense que j’avais pris. Il sentait contre lui mes tétons encore durs de désir.

• J’aime tellement te voir jouir, te mater en train de te faire mettre par un mâle vigoureux, que ça me désarme. Et c’est vrai que j’adore voir ta chatoune bien remplie, comme maintenant.

• Je t’aime mon Philippe. Tu sais de quoi j’ai envie ?

• Dis-le-moi, je le ferai.

• Que tu nettoies ma chatte, comme tu le faisais lorsque j’étais avec Rachid. Je sais que tu aimes le sperme, mon petit mari bisexuel.

A part Agun, ma compagne, ma femme, personne ne sait mieux que Philippe s’occuper de moi en faisant usage de sa langue.

Philippe commença par m’embrasser à pleine bouche, sur moi il y avait encore l’odeur de mon amant. Puis il se mit à descendre, avec un but bien précis. Il me léchait partout, les seins, les aisselles, les pieds, les cuisses, mes poils tout collés de sperme… Il me dévorait la chatte, faisant ma toilette intime avec sa langue jusqu’au trou du cul pour bien récupérer ce qui avait coulé dans ma raie. Il me rendait folle de plaisir.

Sa langue s’était mise à frétiller, de plus en plus vite, sur mon clito, et mon bassin, dont j’avais perdu totalement le contrôle, s’agitait en tous sens. J’ai alors joui à nouveau, très vite, très fort.

Mon chéri savait qu’il me rend folle avec ce genre de caresses et n’en n’avait pas fini avec moi. Ses caresses buccales se firent plus suaves, plus lentes. Il suçait mes lèvres intimes, faisait pénétrer sa langue en moi, m’embrassait tous les recoins de la vulve.


J’ai senti alors une seconde vague monter. Mais, comme je ne pouvais rien contrôler, celle-ci a mis un long moment à se propager. C’était indéfinissable, aussi bon que quand je me masturbe, sauf que je ne contrôlais rien. Là où j’aurais achevé de me faire jouir avec mes doigts, mon lécheur changeait régulièrement de caresses. Il avait maintenant mon clito dans sa bouche.

Ses allers-retours entre mes cuisses ont duré ainsi de longues minutes, j’étais au bord de l’extase, sans parvenir à évacuer ce trop plein d’émotions qui avait pris possession de mon bas-ventre. Philippe savait exactement ce qu’il faisait. Au moment précis où il l’a voulu, il s’est agité de telle sorte que je suis partie dans un orgasme profond, long et violent qui m’a presque fait peur : voulait-il me faire mourir de plaisir ?

LA RENCONTRE AVEC AMBRE ET RENAUD

J’avais besoin de souffler un peu. Je me suis blottie tendrement dans les bras de Philippe.

• Ma chérie, tu avais remarqué qu’un jeune couple a longuement maté pendant que tu te faisais baiser par cet inconnu ?

• Oui je les avais remarqués, ça m’a excité. Tu sais que j’aime m’exhiber dans ce moment-là. Et ce couple, ils sont partis avant la fin du spectacle ?

• Ils viennent tout juste d'aller dans les dunes... Je pense que monsieur avait besoin d'être soulagé...

• Mmmmh, tu crois que je peux proposer mon aide ?

• Tu peux toujours leur demander...

Je partis en direction des dunes. Quand je rejoignis le couple, je restais en retrait pour les observer un peu. Le gars était en train d'embrasser les seins de sa copine.

La fille gémissait de plaisir. Le mec avait une érection du tonnerre. La fille finit par le redresser et se retourna en s'appuyant au tronc d'un pin. Le gars se pencha et commença à lui caresser la moule. La fille continuait à gémir sous ses caresses. Ses gémissements se firent un peu plus forts quand le gars commença à la branler avec un doigt. Puis il ajouta un second doigt et enfin un troisième. La petite blonde l'encourageait à continuer :

• Oh oui ! C'est bon... T'arrêtes pas !

Mais le gars s'arrêta quand même. Il retira ses trois doigts, laissant un trou béant dans le sexe de sa copine, mais il fallait bien ça quand il y dirigea son sexe. Je mouillais en le voyant prendre cette fille en levrette.

La fille ne se retenait pas de gémir tant son plaisir était grand.

Je sortis des fourrés et m'approcha du couple.

• Ne t'arrêtes pas, c'est la fille qui t'excitait tant tout à l'heure quand elle se faisait baiser devant son mec.

Je vins me placer devant la fille et admira son jeune corps. Elle me regarda :

• Tu veux te taper mon mec ? Montre-nous un peu ce que tu vaux !

La fille s'échappa et proposait de toute évidence que je prenne sa place. J’approchais du gars, fascinée par la taille de son engin, luisant de la mouille de sa copine. Je ne pus m'empêcher de saisir le long sexe et de le masturber lentement. Le gars se mit à caresser ma poitrine.

La blonde nous regardait, en se caressant l'entrejambe. C'est elle qui fit progresser la situation :

• Bon, maintenant que tu as bien tripoté cette grosse bite, tu vas te la mettre entre les cuisses et me dire ce que tu en penses !

Le langage très direct et vulgaire de cette fille semblait ne pas pouvoir être celui d'une créature au corps et aux traits si fins. Bien que cette fille fût plus jeune que moi, son ton directif ne semblait pas souffrir un refus. Sans même réaliser que c'était la deuxième fois de la journée que je m'offrais à un inconnu sans protection, je m’exécutai donc et laissa le mec guider son engin entre mes cuisses. Il n’y eut pas besoin de préparation tant j’avais bien mouillé avant. Je sentais bien que cette grosse queue faisait partie des plus grosses que j’avais eu l'occasion d'avoir. Décidément cette journée était prometteuse et semblait annoncer que j’allais rattr tous ces mois de « carême » . J’en gémissais déjà de plaisir.

Le mec me baisait tranquillement, me tenant sur le côté pour pouvoir me caresser les seins. De temps en temps, il se penchait sur un mamelon pour le sucer. La petite blonde ne restait pas inactive et m’embrassait dans le cou. Comme moi, elle était bisexuelle.

Le gars se dégagea temporairement et m'appuya face au tronc pour me prendre en levrette.

Oh que c’était bon ! Je fermais les yeux et je profitais de cette position privilégiée pour apprécier le long manche qui allait et venait en moi. La fille souriait, manifestement fière de me montrer qu'elle était la copine de ce mec qui faisait si bien l'amour. Elle s'accroupit devant moi et m’embrassa le ventre. Sa main remonta le long de ma cuisse, effleura le sexe qui me pistonnait et s'arrêta sur le clitoris pour le masturber.

J’ai cru défaillir tant le plaisir était intense. Je luttais pour ne pas succomber à un orgasme rapide. Je me concentrais, le plaisir que j’en tirais valait la peine. Ce fut pourtant bien compliqué de ne pas céder à l'ultime plaisir quand la petite blonde arrêta de me masturber pour remplacer son doigt par sa langue. Je criais déjà très fort. La fille me donna un sursis en faisant sortir le sexe de son mec pour le sucer, alternant le gland de son copain et mon clitoris.

Puis, la jeune fille, perverse à souhait, se mit à branler mon clitoris avec le gland de son mec, tout en continuant à me lécher avec le bout de sa langue. C'en était trop ! J’étais sur le point de jouir et me mis à hurler avant que l'orgasme ne me gagne.

Quand l'orgasme m'envahit, j’ai eu le souffle coupé quelques secondes, le corps et l'esprit exclusivement tournés sur le plaisir. Mes cris et mes convulsions dus à l'orgasme déclenchèrent l'éjaculation du gars qui, toujours la bite coincée entre ma moule et la langue de sa copine, se mit à hurler à son tour. Sa copine se positionna aussitôt pour recevoir au visage et dans la bouche l'abondante crème qui s'échappait en longs jets.


La fille avala tout ce qu'elle put. Remise de mon orgasme, je me penchai sur elle pour, moi aussi, lécher le nectar qui lui restait sur la joue et au coin des lèvres. En avalant ces quelques gouttes, j’eus une idée fulgurante qui traversa son esprit embrumé par le plaisir :

• Excusez-moi, nous ne nous sommes pas présentés. Je suis Olga.

• Moi c'est Ambre et tu viens de te faire baiser par mon mec, Renaud.

Heureuse de ma rencontre, je pris congé de mes nouveaux amis et rejoignit Philippe.

DE NOUVEAUX AMIS INTIMES

En rentrant au camping nous décidâmes de nous mettre en quête de ce jeune couple pour voir s'ils n'étaient pas installés trop loin de notre emplacement.

• Voici Philippe, mon mari.

• Ambre et Renaud, enchantés. L'emplacement à côté du nôtre est libre, vous ne voulez pas demander à changer ?

• Pourquoi pas...

Nous laissâmes le jeune couple tandis que nous rejoignîmes l'accueil pour demander à changer d'emplacement. La fille ne fit pas d'histoire et nous accorda l'emplacement souhaité. Nous consacrâmes une petite heure à déménager nos affaires et à prendre possession de notre nouvel espace. Quand tout fut installé, la nuit commençait à tomber et nous avions tous faim. Nous sommes allés manger ensemble et nous échangeâmes sur nos métiers, nos hobbys. Renaud semblait captivé par notre mode de vie, mon hypersexualité, le candaulisme de Philippe, mais aussi par ma poitrine nue qui jouait librement sous le tissu du débardeur. Manifestement j’étais à son goût et c’était réciproque. Je remarquais aussi, avec une pointe de jalousie, qu’Ambre était sous le charme de Philippe et que mon mari, celui-ci n’étant pas indifférent à la jeune blonde.

Le lendemain, Philippe alla prendre une douche, me laissant dormir. Volontairement, il laissa l'ouverture de la tente un peu entrebâillée pour que les passants puissent profiter du charmant spectacle de sa femme nue.

Je me réveillais quelques minutes plus tard. En entendant des bruits de pas s'approcher de la tente, je me mis à quatre pattes et me cambra, tendant son cul vers l'ouverture, persuadée que Philippe revenait de la douche.

En sentant les mains froides qui se posèrent sur mes fesses, je compris que c'était plus probablement Renaud mais je m’amusai à lui faire croire que je ne le savais pas :

• Oh Philippe, baise-moi !

Il retira aussitôt son caleçon et je sentis l'érection du jeune garçon contre ma cuisse.

Se mettant à genou derrière moi, Renaud me pénétra. Il s'enfonça loin en moi. Je le trouvais particulièrement gros et me mit rapidement à gémir. Il était sans doute très excité de me baiser en me laissant croire qu'il était mon mari.

Pour ma part, je comptais bien en profiter au maximum.

• Prends mon petit trou, s'il-te-plaît. Encule-moi !

Renaud ne pouvait pas refuser car il se disait sans doute que sinon Olga se retournerait et se rendrait compte que ce n'était pas Philippe. Il poussa donc son gland contre le petit trou et se mit à me sodomiser en me tenant les hanches. Mes gémissements ressemblaient désormais plus à des cris. Quand Ambre passa la tête par l'ouverture et découvrit la scène, elle ne s'offusqua même pas que ce soit son copain qui soit en train de me sodomiser et se contenta de s'excuser avant de disparaître.

Je pris à peine conscience de cette intrusion, tant tout mon corps s'abandonnait à cette intense sodomie. Je jouis alors que Renaud envoyait dans mes entrailles de longs filets de sperme épais.

Quand je me laissai tomber sur le côté, je me rendis compte que Renaud était déjà reparti. Je roulais sur le dos, les cuisses écartées, tant pis pour le sperme sur le duvet. J’entendis des chuchotements dans la tente à côté. Renaud devait raconter son exploit à Ambre. Je m’assoupis à nouveau sans me soucier que l'entrée de la tente était restée encore entrouverte.

ADULTERE LESBIEN


Quand je sentis une langue venir me lécher la moule, j’ouvris les yeux et eut le réflexe d'écarter encore davantage les jambes plutôt que de les refermer. C'était Ambre qui était venue prendre sa part de plaisir et léchait avec précision mes lèvres et mon clitoris.

J’avais promis fidélité à Agun, ma douce compagne qui prenait soin de nos s pour nous permettre ces vacances et, pourtant, je m’apprêtais à la tromper sans vergogne avec Ambre. Mais j’avais trop envie de me livrer à cette jeune blonde. J’avais trop besoin de plaisir, de tous les plaisirs. Agun comprendrait, pardonnerait.

Je me mis aussitôt à gémir. Regardant à nouveau, je me rendis compte qu'Ambre était intégralement nue et qu'elle devait offrir aux passants la vue de son cul nu. Était-elle venue dans cette tenue depuis sa tente ou elle s'était-elle déshabillée une fois rentrée ? Peu importe. La jolie blonde me couvrait de baisers et remontait lentement, embrassant mon ventre, puis mes mamelons pour enfin m'embrasser dans le cou.

• Allonge-toi tête-bêche à côté de moi...


Ambre s'exécuta et s'allongea sur le dos, la tête vers l'entrée de la tente. Je vins aussitôt m'installer à quatre pattes au-dessus d'elle et commençai à lui brouter la moule. La jeune blonde allait s'y mettre également quand elle se rendit compte de la présence de Philippe à l'entrée de la tente.

Ambre ne sembla pas se préoccuper de sa présence et entreprit de me sucer la moule où elle pouvait boire quelques gouttes du sperme de Renaud.

Ambre tira sur mes hanches pour m'obliger à reculer un peu, d'abord pour lui permettre de me sucer le clitoris de manière plus commode, ensuite pour que j’approche davantage mon cul de Philippe. En me baisant ainsi, Philippe voyait mon anus dilaté et comprit en voyant les traces de sperme et la forte odeur qui régnait dans la tente qu'il y avait eu une visite masculine avant la sienne.

A son tour, Philippe me prit par la voie étroite, en fait bien déjà bien ouverte par la sodomie que Renaud venait de m’infliger.

Je criais maintenant sans la moindre discrétion et je pense qu'on pouvait m'entendre à l'autre bout du camping. Philippe me labourait ainsi pendant de longues minutes alors qu'Ambre me dégustait le clitoris. J’eus bien deux orgasmes successifs et Philippe en profita pour jouir aussi et pour se répandre, comme Renaud, dans mon anus.

Ambre attrapa ensuite un petit bout de tissu qui s'avéra être une mini robe très fine qu'elle enfila directement avant de sortir. Je la trouvais ainsi presque plus indécente que si elle avait été nue puisque le tissu était si fin qu'on distinguait parfaitement ses tétons. Le bas était si court qu'il lui couvrait à peine les fesses et j'imaginais même qu'on pouvait lui voir l'entrejambe quand elle marchait.

• Olga, tu viens te doucher avec moi ?

• J'arrive !

Je m’enroulais dans une grande serviette et je pris mon gel douche pour accompagner Ambre, la prenant par la main, sans me soucier des regards pour certains réprobateurs. J’avais tout simplement envie de cette jeune femme.

Sous l'eau tiède, nous nous embrassions et nous caressions, totalement impudiques. C'était d'un érotisme torride. Nous échangeâmes un baiser particulièrement long et sensuel.

Ambre se mit à gémir de plaisir, j’étais en train de la masturber. Mon majeur se perdait dans le vagin d'Ambre, puis ressortit pour venir frotter le clitoris, petit morceau de chair que je pouvais voir bander comme un mini sexe. J’arrachais rapidement un orgasme à Ambre qui se convulsa alors que mon majeur continuait à fouiller son sexe. Ambre, jambes flageolantes, dut s'appuyer sur moi pour ne pas tomber.

(A suivre)

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